Le Noël des pauvres

Il était une fois, dans une clairière au Canada, une famille qui habitait dans une petite maison. Cette maison était construite en pierre et en chaux. La famille n'était pas très riche. Ils vivaient heureux et étaient en bonne santé. En ce temps-là, les enfants jouaient souvent dehors avec la neige. Ils grimpaient souvent dans les arbres qui avaient perdu leurs feuilles. Le papa coupait du bois pour gagner sa vie et la maman vendait des fleurs au marché pendant que les enfants travaillaient à l'école. Leurs parents rentraient très tard le soir et les enfants recevaient les clés le matin.
Un jour, les enfants virent une lettre dans la boîte aux lettres. Ils coururent vers la boîte aux lettres pour aller chercher l'enveloppe. Ils pensaient que c'était un chèque que les parents avaient gagné. Les enfants allaient ouvrir la lettre quand, tout à coup, leurs parents sortirent de la chambre. Les parents étaient surpris et ils souhaitaient eux aussi que ce serait un chèque. Quand ils ouvrirent la lettre, ils virent que c'était un mot de leur patron. Le père lut la lettre à voix haute:
"Cher monsieur, nous sommes désolés de vous annoncer que vous êtes renvoyé parce qu'il n'y aura plus d'arbres si vous continuez à couper les arbres. "
Votre patron: Éric Gadbois

Quand le père finit de lire la lettre, la mère tomba dans les pommes.
La famille se précipita à son secours. " Un coussin! De l'eau! " Le père était tracassé d'être licencié. Les enfants continuèrent d'aller à l'école pour apprendre et étudier. Le papa se renseigna auprès de personnes pour retrouver un nouveau métier. Les mois passèrent et la famille commençait à se priver. Un matin, le facteur qui faisait sa tournée donna une lettre au papa.

Il y était écrit : " Monsieur, nous souhaitons vous engager chez un fabricant de jouets en bois.
Signé, Claude Lavis "

Le père écrivit une lettre qui disait:
"Bonjour, je suis monsieur Grenier. J'accepte d'être un fabricant de jouets en bois, mais est-ce que je peux savoir combien d'argent je gagnerai à faire ce métier?"
Richard Grenier
Quelques jours passèrent et le facteur apporta une autre lettre. Le père ouvrit la lettre rapidement et la lut:
"Monsieur Grenier, vous gagnerez 50 000$ par année. Je sais que vous gagnerez plus d'argent que votre dernier travail. "
Monsieur Lavis

La famille était très contente et vécut heureuse jusqu'à la fin de leurs jours.

Jean-François, Vanille, Aurélie et les amis du Canada